06 décembre 2011

La Consultation sur l'emploi - C'est la CFDT-Oracle

Moment important d'examen des risques d'emploi dans l'entreprise, cette consultation, lancée à l'initiative de la CFDT-Cadres d'Oracle dès 2008, est particulièrement stratégique pour permettre à chacun d'apprécier les risques associés à la stratégie ou au contexte marché d'Oracle.
Consultation pivot du projet d'accord GPEC, menée par le CE et donnant lieu à un avis que nous nous attachons à détailler tout particulièrement (version 2010 et sa mise à jour consulting)

A noter la présentation Lundi 28/11 en Comité d'Entreprise Extraordinaire de la version 2011 de la consultation sur l'emploi, avec probablement une évolution de la cartographie des risques prenant en compte les derniers résultats économiques de la filiale.

La CFDT-Oracle - C'est faire.

A suivre...

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15 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour,

Visiblement je recois une erreur sur ce lien:
The requested workspace ConsultationEmploi was not found.

!?

CFDT Oracle a dit…

Bonsoir - Quel lien plus précisément pose probleme ?

Anonyme a dit…

https://stbeehive.oracle.com/teamcollab/library/st/FR_COMITE_ENTREPRISE_ORCF/Public+Documents/Avis/2010/ConsultationEmploi

CFDT Oracle a dit…

Subtile différence dans le lien, avec un comportement différent de l'extérieur ou de l'interne.
https://stbeehive.oracle.com/content/dav/st/FR_COMITE_ENTREPRISE_ORCF/Public%20Documents/Avis/2010/ConsultationEmploi

Anonyme a dit…

Merci Franck!

Anonyme a dit…

Concernant la GPEC, que se passe t-il pour un salarié sur un poste déclaré sensible et qui refuse de signer la charte tripartite ?
Autre question : dans un équipe "sensible", la charte sera t-elle proposée à tous les memebes de l'équipe ou seulement à quelques uns, et dans ce cas sur quels critères ?

CFDT Oracle a dit…

Question au coeur du débat et de la difficulté de l'exercice.
D'un coté, l'approche qui veut qu'un changement significatif d'emploi ne puisse être imposé - Conduisant à ce que le salarié soit directement exposé à un probable futur licenciement economique.
Soit le changement d'emploi n'est pas significatif, et le refus du salarié est alors illégitime.
Entre les 2, la commission GPEC.

Anonyme a dit…

La commission GPEC interviendra t-elle au moment de la proposition de la charte à un salarié (et donc influer sur son contenu), ou a posteriori pour vérifier que l'accord est bien respecté.
Qui aura le dernier mot : la direction sans nul doute !

CFDT Oracle a dit…

#8 - Mais certainement, les représentants du personnel peuvent intervenir à tous les niveaux, et l'accord engage la direction dans les moyens et eventuellement devant le juge.
Et nous partageons vos doutes, mais n'oublions pas de considérer d'ou nous partons ?
Actuellement le processus de "Charte" est déployé comme un "PIP" laissant très peu de marge de manoeuvre et une direction qui a le dernier mot.
Et par ailleurs, les plus fragiles sont ceux qui n'ont aucune formation.
Cela peut changer avec cet accord, qui laisse de large zone de doutes en période de carence de nouveaux postes, mais faut-il tout rejeter sous prétexte d'imperfection ?
A vous lire.

Anonyme a dit…

Tout rejeter non, mais en principe au dela de 9 postes supprimés sur une période donnée, la société se doit d'ouvrir un plan social non ?
Avec des conditions tout de même plus acceptables (et non imposables) qu'une "GPEC" ou toutes les sommes sont imposables au premier euros, d'une part, et d'autre part bien moins confortables si on peut dire cela ainsi...
Quand on se retrouve ciblé "poste a risque" chez Oracle, il est fort probable qu'on le soit tout court, a savoir dehors aussi et donc de grosses difficultés pour se recaser, sachant de plus que ce seront encore et toujours les plus anciens qui vont se retrouver dans ces conditions, la GPEC semble surtout avantager la société, lui permettant de jeter dehors des salariés a moindre coût.
Ne rêvons pas, la mobilité en interne est déjà quasi inexistante, même en dehors de tout "poste a risque", les reclassements sont a compter sur les doigts au vu des précéents plans, officialiser dans un "accord" une technique de licenciement ciblée sur certains est inadmissible.
En éspérant que personne ne signe cet accord...

CFDT Oracle a dit…

Si je ne partage pas le point de vue, je comprends toutes les réticences d'avancer sur ce sujet.
Un premier avant propos, la GPEC ou l'établissement de postes à risque n'a jamais été un permis de tuer !
C'est au contraire un environnement de grande traçabilité des efforts à conduire avant d'élaborer des PSE.
Il faut plutot comprendre que les PSE seront moins "illégitimes", après des pré-désignations de risques, et la mise en place de plans d'accompagnement en amont.
Et toujours la même question, qu'avons nous comme avantage à ne pas signer ?
N'hesitez pas le cas échéant à m'appeler à ce propos en discuter ensemble m'interesse.

Anonyme a dit…

Et moi je partage le point de vue du post 10...

Mis a part le fait de savoir par lettre AR qu'on occupe un poste a risque quelle différence ?
Pas moyen de bouger, la mobilité est un leurre dans cette boîte, même si on la demande, alors sans la demander je redoute...

Un PSE, tout "illégitime" qu'il soit, permet a minima d'avoir en poche de quoi survivre si cela se passe mal dehors, ce qui n'est pas le cas de la GPEC...
Postes a risque mon oeil, nous sommes tellement en silots, les job codes sont tellement taillés a la serpe que désigner un poste ou des postes a risque équivaud a désigner des personnes directement et se débarrasser de celles dont on souhaite.
Cela s'est bien vu au fil des derniers PSE et du soit disant volontariat (toi oui , toi non).
Combien de télésales passés Sales, alors qu'il avait été annoncé une palanquée d'embauche sur les Sales ?
Combien d' AVV passés Sales ?
IL y a bien des nouveaux qui arrivent pourtant...Personne en interne ? je n'y crois pas une seconde.
Et si on tente de bouger, il y a toujours quelque chose qui cloche, on n'a pas le bon "ic level", on ne parle pas Chinois couramment, notre chemise ou notre veston ne plait pas...
Ou alors il faut accepter de bosser au même salaire, mais dans un métier et une équipe ou tout le monde vole a 50k au dessus...
La GPEC est peut être une bonne chose dans des sociétés qui voient réellement a long terme, chez Oracle ou le terme est mensuel c'est une pure mascarade.

Anonyme a dit…

Et combien de consultants poussés dehors en étant exclus de tout reskilling, shadowing, mis à part de manière virtuel.
Et combien de candidatures sans même un accusé de reception de la demande ?

Anonyme a dit…

dans la proposition d'accord, c'est le salarié qui doit TOUT mettre en oeuvre pour assurer son employabilité, pas la direction.
Il est part là même rendu responsable, alors que c'est bien les orientations d'Oracle qui rendent certains postes à risque..

Anonyme a dit…

Bonjour CFDT,

Quel risque pour la CFDT de rejeter l'accord parlant d'un GPEC, tout simplement?