En réponse à un commentaire, nous tenons à réaffirmer notre engagement à préserver les droits de tous les salariés, qu'ils proviennent de Peoplesoft ou pas.
Pour autant, nous nous refusons a ne négocier que sur le "package", car, comme le remarque l'inspecteur du travail, ce serait totalement en dehors du cadre légal et de nos valeurs syndicales.
Nous nous attachons à ce que, dans ce projet de croissance, chacun puisse trouver sa place, des sources de motivation et que les départs soient la dernière et ultime extremité.
Pour cela, nous demandons de l'ambition, de l'intelligence et du temps dans les recherches, pour permettre le reclassement des salariés expérimentés exposés à une suppression de poste.
Il ne saurait être question de perdre ces expertises et gacher une partie de notre avenir et du leur.
Dans un 2eme temps, s'il devait rester des postes sur-numéraires, nous entendons qu'un package incitatif au départ, a la mesure des ambitions affichées par le passé chez Nokia, STM, AOL, VU..., puisse permettre à des personnes de la catégorie professionnelle concernée de se porter volontaire au départ.
Dans notre esprit, la direction ne saurait valablement tenir la position interdisant l'appel au volontariat à l'exterieur des services impactés, puisque ce serait nier la capacité de chacun, appartenant à une qualification professionnelle d'évoluer, conformément en ce sens avec la description des filiaires définies par la DRH
Cette attention doit bénéficier au final à tous, Ex Peoplesoft comme Ex-Oraclien, et servir de "jurisprudence interne", réutilisable le cas échéant.
Pour répondre à ces ambitions, il est nécessaire de disposer de temps. Le planning forcené de la direction ne laissait aucune chance aux salariés concernés de trouver une solution de reclassement dans les délais et procedures annoncées.
Nous sommes et resterons très vigilant sur ces points.
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