Vraiment ??? De quoi parle-t-on ???
Parlons nous d'une perte de 15% de rémunération en 2 ans ?
En effet, Oracle était cité en numéro 1 sur la même étude en 2017, Microsoft, numéro 2 était alors prétendument en retrait de 21 KE (???).
En l'absence de présentation de la méthodologie utilisée, Il parait important de relativiser ce chiffre en prenant en compte l'effet considérable que représente la rémunération variable pour plus de la moitié des collaborateurs de l'entreprise, le commerciaux formant l'essentiel des recrutements en 2018 et 2019.
Cette rémunération variable,assise sur des objectifs bien trop ambitieux, fait l'objet de désaccords importants et ne cesse d'empoisonner les relations sociales. Il faut bien ensuite parvenir à attirer des talents, quitte à gonfler la rémunération fixe en compensation d'un variable de plus en plus incertain.
Comment justifier autrement le volume de démissions constatées chaque trimestre dans l'entreprise "numéro 1" ?
Pour des informations vraiment fiables, un seul reflexe.
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5 commentaires:
Franchement n'importe quoi que cette enquete. On a tellement de départs vers MSFT et SAP, beaucoup moins d'arrivées de ce coté. Et ceux qui partent explosent leur salaires alors non, c'est franchement n'importe quoi que ces chiffres.
Bravo Oracle. Premier c'est beau!
La prochaine fois dans le Cloud?
Quelle tristesse que ce manque d'analyse journalistique. Combien de fois est repris l'article, et avec quelle valeur ajoutée mise en avant par ces différents médias ?
ce que ne dit pas la chanson c'est qu'avec un salaire médian de 70000 euros (50% des salariés gagnent plus) , le salaire moyen est de 129000 euros (source bilan social 2018), on peut en conclure qu'il y a une disparité énorme entre les salaires et que les salaires extrêmement élevés concernent peu d'individus . Si on s'intéresse au montant global des 10 rémunérations annuelles brutes les plus élevées on atteind 5406111 euros et parmi ces 10 rémunérations seul une femme fait partie du Top 10. Si on ne peut que se réjouir que nos salaires soit très élévés par rapport à la moyenne nationale, il reste de grande disparités dans la répartition du gateau et qu'en matière d'égalité h/f le top management ne donne pas l'exemple ! (et cela reste vrai en matière de stock et autre RSU)
On croit rever. Alors oui plein d'arrivées chez Oracle de personnes qui négocient bien leur fixe, et plein de départ de ceux à qui ont refuse la moindre augmentation.
Combien de départs l'année derniere ?
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