Après les annonces de début d'année chez IBM, puis celles de mai chez HP déclinées, en France sous la forme d'un accord de GPEC , c'est au tour de Microsoft de faire sonner le tocsin, avec un plan impactant 14% de ses effectifs, notamment au développement, pour faire suite au rachat de Nokia.
Les investisseurs semblent saluer l'annonce, portant l'action Microsoft à son plus haut depuis les années 2000.
Ces profondes réorganisations doivent interroger chacun de nous quand à la pérénité de ses compétences dans une industrie informatique qui parait privilegier le volume, les processus, à la qualité ou l'ingéniosité.
Preuve en est avec la croissance sans cesse réaffirmée des transferts d'emplois en Roumanie.
Ces difficultés caractérisent encore plus le besoin d'une GPEC tournée vers l'employabilité et la transparence, pour contribuer à aider les collaborateurs à se redessiner un avenir.
Et pour faire avancer l'emploi dans la filiale Française, faire bouger les lignes, vous trouverez ici la contribution du collectif CFDT à l'observatoire de l'emploi d'Oracle (lien privé).
La CFDT c'est faire - Nous le montrons chaque jour.
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2 commentaires:
Cet article est de 2012 mais nous commençons à voir les effets au Global Support Oracle - licenciements de salariés basés dans les "petits pays" et embauches en Roumanie. L'étape 2 sera licenciements dans "moyens pays" ! A suivre ....
Et en attendant le coup de grace final. Nous le savons tous, sans l'avoir jamais exprimé. Ces transformations sont terribles, et la GPEC fait peur.
Pourrons nous grandir ou serons nous jetés ?
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