Passé les annonces marketing et les initiatives locales d'ampleur bien limitée, il n'apparait décidément pas possible de mobiliser de moyens d'envergure chez Oracle.
Le Board vient ainsi de refuser la demande d'un gérant de fond, propriétaire d'actions Oracle, visant à créer un comité RSE au plus haut niveau de la hiérarchie Oracle.
Un bien triste exemple de la gouvernance à géometrie variable de la société.
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4 commentaires:
Belle hypocrisie représentative du monde dans lequel on vit.
Il ne faut surtout rien changer aux dérives passées, juste faire croire que...
Bel exemple à l'image des dérives du monde bancaire. On fait semblant de mettre en oeuvre une gouvernance sur les bonus, l'attribution des credits et au final on en remet une couche en terme de spéculation.
On parle d'Oracle et du Francky national ici : http://www.lemagit.fr/article/microsoft-google-france-oracle-impots-fiscalite-bercy/7130/1/oracle-france-frappe-par-redressement-fiscal-pour-plus-grande-joie-ses-salaries/
Excellent - Et je note ce point de l'article "Mais il est vrai que ni Google, ni Microsoft n'ont poussé le bouchon jusqu'à afficher des pertes dans l'Hexagone... contrairement à Oracle.
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