Vous trouverez notamment dans ses dernieres publications :
Why Shareholders Keep Rejecting The Company's Executive Pay - "[...] Since the beginning of 2014, Oracle’s stock has been basically flat, at around $38. None of its executives received any cash bonuses this year because the company failed to grow its pre-tax profit. While this would seem to be a positive thing—poor performance translates to no bonuses—remember that, despite the lack of bonuses, executive pay still went up. Oracle did not respond to a request for comment for this story. [...] "- Source fortune.com
Expensing Tips : Ou l'on apprend qu'aux US et en Australie aucun reçu n'est demandé en deça de repas de 25$, et qu'aucun plafond n'y est imposé sur les repas.
"Apparently, MH's strategy is working" -
1. Strategy: Be ‘Somewhat Boring’
2. Operating Model: The Fewest Rocks on Employees’ Backs
3. People: Best People, At the Lowest Cost, Completely Engaged
"[...] Hurd said he wants the best people, at the lowest cost, with the lowest attrition, completely engaged, and delivering the best performance. [...]" - Source forbes.com
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6 commentaires:
Le second article est nauséeux et mériterait une réaction de notre direction.
La "boring strategy" nous l'avons et d'autant plus depuis que nous sommes suiveurs sur un marché que l'on ne comprend pas.
"put people in the right spot", on parle bien de pole emploi, Inde et Roumanie là ?
"best people, at the lowest cost, with the lowest attrition" et le sourire de la crémière.
"They have to believe", effectivement tout celà ne fonctionne plus que par des croyance, quelles options pour les plus réalistes d'entre nous qui ne believe plus ?
Comme Mr Hurd doit certainement se considérer comme "one of the best", je vote pour une petition de lui verser un salaire de 100$.
Apres on verra s'il veut continuer "to believe he is at a company that’s going to win"
Ce monsieur doit avoir la nostalgie de la guerre du VietNam: donner son sang pour une patrie mais surtout pas le sien
A la nuance qu'Oracle n'en vaut vraiment pas la peine, et n'est pas du tout sur le chemin des winners.
On en reparle dans 5 ans!
Je ne souhaite pas faire de commentaire au sujet de MH car cela serait trop dur et sans valable fondement car je ne le connais pas personnellement et ses actes ne ressemblent qu'à ceux d'une machine qui court derrière la concurrence...un jour peut-être ce type de machine courra plus vite que les humains...
C'est en tout cas bien dommage de ne pouvoir commenter le personnage. Si au moins il était passé dans nos locaux pour nous parler comme un chef et un humain!? J'oubliais les TH et replay des video, elles méritent le respect. Mais au fait, SK, existe-t-elle vraiment?
Des témoignages?
Trop drole @-2.. >>>> Comme Mr Hurd doit certainement se considérer comme "one of the best", je vote pour une petition de lui verser un salaire de 100$. <<<
Oui, en effet ca aurait du sens que de se l'appliquer a lui meme en 1er lieu..
"best people, at the lowest cost, with the lowest attrition"
Mark, please prove us that you do believe on this.. Move to India, and Get yourself paid at the the lowest cost..
Then we will all follow you and give our heart to Oracle for ever..
2. Operating Model: The Fewest Rocks on Employees’ Backs
Je vois dans l'article de Fortune, que MH prévient des méfaits d'une trop longue ligne de management. C'est vrai : Oracle France en est un véritable modèle du genre!?
Quoique MH ait choisi comme image une ligne allant du top management jusqu'à un commercial, cela est bien loin de ce cas idéal à ses yeux pour nombre d'entre nous! Cela a-t-il changé récemment pour cette population ? En tout cas pas pour les autres branches !
J'y vois en tout cas une source d'inquiétude qui explique l'anxiété bien visible chez nombre de nos Managers. A tout les niveaux!
Sans doute ont-ils eu vent de cette stratégie avant cet article.
Au plus bas, c'est la crainte d'être remercié et regretté par personne. Au niveau intermédiaire, la peur de devoir s'assumer et perdre les douillets fusible de sa propre chaîne de management gagne.
Au plus haut niveau, sans doute sont-ils déjà sur dans les Cloud et ne se rendent pas vraiment compte du terrain sur lequel les commerciaux évoluent chaque jour. Mais peut-être pas tant à côté de la plaque que cela : quand il n'y aura plus de support, une raison de moins pour les clients se plaindre, se moquer même parfois, le Cloud est là pour sauver la mise, c'est si simple! Au fait, comment faisaient les autres avant qu'ils soient rachetés? (Il perdaient de l'argent, des part de marchés, n'innovaient plus...mais ils savaient au moins faire tourner un support et gérer une roadmap!)
Lorsqu'il n'y aura plus de commerciaux et qu'ils auront été remplacés par une poignée de télé-commerciaux assurant le support des sites Web dédiés au passage de commandes pour le Cloud...Est-ce que la ligne de management sera alors assez courte pour satisfaire ce top managemer qui pourrait alors briguer le poste de CEO de l'année.
Fortune: "Hurd warns against layers of management, since it gets harder with each layer to communicate that clear strategy. Hurd suggests listing all the people between the CEO and, say, a salesperson.
“In these layers of management, who can decide? Other than me, who’s in charge? At what layer does the decision get made?” Hurd said. “Please think of it that way—I want to know how many people have to touch a decision.”"
Merci pour cette revue, elle tout bonnement édifiante !
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