Les conditions générales de ccommissionnement FY17 sont l'objet, une fois encore, de très vifs débats en comité d'entreprise puis dans les réunions de "négociation" sur leur caractère loyal, équilibré et adapté par rapport aux enjeux que traverse l'entreprise.
L'expertise juridique exigée par le Comité d'Entreprise a confirmé le caractère douteux de la légalité d'un certain nombre de clauses.
Si la direction peut effectivement imposer des objectifs commerciaux, ceux ci-doivent rester raisonnables et ne doivent pas faire porter le risque "d'entreprise" sur le collaborateur. De plus l'entreprise ne peut pas :
- Modifier rétroactivement des règles de calcul ou des taux de commissionnements, ou des règles de reconnaissances du chiffre d'affaire.
- Effectuer des reprises de commissions à plus de 10% de la rémunération mensuelle fixe.
- Se contenter de modifier une des 50 annexes sur l'intranet pour l'opposer au salarié.
Nous reviendrons dans un autre article sur l'appréciation économique des évolutions envisagées, et notamment les taux de commissionnement réduits voir anéantis sur le OnPremise, ignorant totalement les différences de maturités de nos offres ou de nos clients.
En fonction de cette maturité, il est plus que jamais nécessaire d'adapter les objectifs, le cas échéant, à la baisse, à la réalité du potentiel cloud de chaque territoire.
Sortira-t-on cette année de la ritournelle d'objectifs en croissance de +10% d'objectifs, avec +10% d'uplift, et -x % de commissions OnPremise?
Vous trouverez ici les revendications communes des syndicats (revendications ici), ainsi que l'avis, quasi définitif et unanimement défavorable qui est accessible ici.
Et vous - Quel est votre avis sur la question ?
L'expertise juridique exigée par le Comité d'Entreprise a confirmé le caractère douteux de la légalité d'un certain nombre de clauses.
Si la direction peut effectivement imposer des objectifs commerciaux, ceux ci-doivent rester raisonnables et ne doivent pas faire porter le risque "d'entreprise" sur le collaborateur. De plus l'entreprise ne peut pas :
- Modifier rétroactivement des règles de calcul ou des taux de commissionnements, ou des règles de reconnaissances du chiffre d'affaire.
- Effectuer des reprises de commissions à plus de 10% de la rémunération mensuelle fixe.
- Se contenter de modifier une des 50 annexes sur l'intranet pour l'opposer au salarié.
Nous reviendrons dans un autre article sur l'appréciation économique des évolutions envisagées, et notamment les taux de commissionnement réduits voir anéantis sur le OnPremise, ignorant totalement les différences de maturités de nos offres ou de nos clients.
En fonction de cette maturité, il est plus que jamais nécessaire d'adapter les objectifs, le cas échéant, à la baisse, à la réalité du potentiel cloud de chaque territoire.
Sortira-t-on cette année de la ritournelle d'objectifs en croissance de +10% d'objectifs, avec +10% d'uplift, et -x % de commissions OnPremise?
Vous trouverez ici les revendications communes des syndicats (revendications ici), ainsi que l'avis, quasi définitif et unanimement défavorable qui est accessible ici.
Et vous - Quel est votre avis sur la question ?
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