La réunion de demain devrait être bien chargée et aborder les points suivants :
Formalisme des ruptures, rédéploiements, extension du nombre de ruptures ou licenciements au delà de 250 initialement prévues, processus concernant "Oracle University".
Nous solliciterons notamment le fait de pouvoir emporter les projets de convention dans le cadre du délais de reflexion, et alors que la pression de ruptures réalisées en mode industriel se fait particulièrement sentir.
Concernant les redéploiements, la donne parait totalement modifiée par l'engagement d'Oracle de ne plus faire de licenciements, et donc de ne pas réaliser ces changements de postes de manière contraintes. Nous redoutons cependant un certain nombre de pressions indésirables sur cette question, avec des invitations très lourdement appuyées à réaliser des mobilités.
Enfin, la commission de suivi cloturera la journée en examinant de manière confidentielle ses espaces de manoeuvre dont nous redoutons l'étroitesse - Nous y reviendrons.
Et n'oubliez pas de signer le Livre d'Or des Départs.
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7 commentaires:
Concernant la commission de suivi
Personnellement extérieur à la commission de suivi, je tiens à vous faire part de mon inquiétude sur la capacité d'accueillir favorablement le nombre de demandes de volontariat complémentaire.
Si chacun peut présenter un argumentaire complet sur son interêt à partir, quel est l'interêt d'Oracle d'accueillir favorablement ces demandes.
Je suis pariculièrement sceptiques sur les chances de succès, en dehors de situations particulièrement sérieuses de difficultés avérées de longue date.
Et si l'argument de "démotivation" est audible, il ne me parait pas pouvoir permettre un renversement de la situation. Oracle a de tout temps su gérer des situations de "low performers", et se positionner sur cette trajectoire ne permettra en rien de rattraper un Plan de Départ clos.
Je comprends combien ce message n'a rien d'agréable à entendre, mais il est préférable d'apprécier pleinement les difficultés à venir, plutot que de rêver à 62 départs surcomplémentaires.
Quelles priorités mettre en avant sur les différents dossiers présentés ?
- Litige déja ouvert avec le manager ?
- Appartenance à un métier à Risque ?
- Salarié basé en région ?
- Occupation d'un poste déja supprimé ?
- Difficultés de redéploiement avérées ?
Vos avis sont les bienvenus...
Bonjour CFDT Oracle,
Aucun, absolument aucun moyen de négocier les départs des "62" restants plutôt que de faire du compte-goutte sur ces personnes et se rendre compte après coup que quelques "élus" ont réussi à avoir leur dossier accepté ? Cela éviterait une frustration supplémentaire pour les "54" ou les "47" (vraiment) restants...
Question bien difficile - La direction est absolument souveraine pour accepter le départ de salariés, sous couvert d'un accord unanime de la commission de suivi.
Les marges de manoeuvre sont particulièrement étroites.
Qu'est-ce qui va convaincre Oracle d'accepter des volontariats complémentaires, avec les indemnités associés, sur des postes non supprimés, et qui pourront faire l'objet d'embauches en Février 2010 ?
Par ailleurs, sur une hypothèse de 100 KE par salarié, le départ de 62 personne représente un cout complémentaire de 6,2 ME, pour lequel la direction doit s'y retrouver...
Nous porterons tous vos dossiers, mais soyez conscient de la difficulté qu'il y aura a les faire entériner.
Peu de messages sur ce fil pourtant destiné à échanger sur les dernières étapes du PSE... C'est étrange, non ? Se trame t-il des choses en coulisses ? La commission de suvi se réunit lundi et décidera du sort des volontaires recalés espérant être repêchés... Pourtant, il apparait, ici ou là, que les tractations vont bon train mais que la Direction ait déjà son idée sur qui sera désigné "partants" de dernière minute... Qui a dit objectivité ? équité ? transparence ?
Je ne vois pas l'interêt d'avoir 62 maheureux Vs 45 ou 50....cela s'expliquerait par le simple fait que les situations sont inégales et variées...donc heureusement qu'il y a une juriceprudence!
je ne pense pas que ceux qui ne passent pas le vivront + ou - mal (sinon, c'est qu'ils n'ont pas vraiement un souci, mais restent frustrés face à un chèque qui s'en va...)....ce qui a du mal a passer, c'est plutôt quand les raisons du refus sont floues, ou quand on vous dit que vous êtes trop 'bon' pour partir, mais qu'on vous laisse végeter et sombrer sans acceder à vos requêtes: ça c'est déjà + grave! un peu de solidarité...ce n'est pas parceque mon voisin est malheureux que j'irai mieux....
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