C'est du moins l'appréciation du syndicat patronal Syntec qui argue de 55000 recrutements en 2007 dont 15000 créations net d'emploi, et 6,5% de croissance du secteur.
Par ailleurs son président ajoute que "L'offshore fait partie du paysage, mais les entreprises ont bien compris les limites de cette pratique".
Signe des temps, l'ensemble des acteurs relève le nécessaire combat de la compétence et de la plus value différentiatrice, mais le président de Syntec se démarque en réclamant l'assouplissement du délit de marchandage (mise à disposition de personnel sous les ordres et la responsabilité directe d'un client, sans valeur ajoutée de service).
D'un autre coté, l'article relève que les licenciements de la branche, à 3% sont supérieurs au reste du marché, et que l'augmentation des indemnités conventionnelles pourrait conduire les employeurs à faire le ménage avant le vote de la loi.
Pendant ce temps, chez Oracle, les diverses réorganisations depuis juin 2005 ont conduit à la suppression officielle de 168 postes et nombre d'autres départs. L'effectif au 31 Décembre n'est plus que 1550 salariés...
Une année exceptionnelle pour Oracle ??
Résumé sur le Net , Article Complet de Xavier Bizeul dans l'édition papier de 01 informatique du 24 Janvier (p.8)
CFDT-CADRES - 1ère Organisation Syndicale de Cadres en France - Pour que l'interêt du plus grand nombre l'emporte sur les intérêts particuliers. Votre premier droit est celui d'être informé - Nous y travaillons chaque jour depuis 2002.
25 février 2008
14 février 2008
Informatique - Piano Pianissimo
Sujet de discussion depuis plusieurs années, la direction n'hésite pas à se contredire brillamment en confirmant :
1 - Les systemes informatiques répondent à des exigences de performances importants :
95% of HTML or Web based transactions to be completed in 3 seconds **
95% of non-HTML transactions to be completed in 5 seconds **95% of messages to be delivered in 10 minutes
Alors que le stockage OFO est obligatoire et que la taille des documents ne cesse de croitre, la position affichée parait bien légère, dans la mesure où l'impact sur la productivité des collaborateurs est loin d'être négligeable.
Sur une base des 10500 collaborateurs sous Sergio, et de 5 "petits" accès par semaine, la perte de temps cumulée représente 6850 Heures perdues par an.
Il est vrai que tant qu'il n'y a pas de probleme de performances aux US et que des économies sont affichées, il n'y a pas a se préoccuper du reste du monde...
12 février 2008
EBS12 et les frais professionnels - Ready for payment ?
Aujourd'hui peut-être, ou alors demain...
Légitimement, après 1 mois de patience, l'enervement des équipes nomades, notamment au conseil, est à son comble devant l'incapacité d'avoir une reprise de l'activité de reglement des Notes de Frais.
Cet enervement prend une ampleur encore supérieure quand il n'est proposé qu'une avance sur Salaire, alors qu'il convient de procéder à des avances sur Frais. En effet, dans le premier cas, le montant est limité à un mois de salaire et est repris à la fin du mois, alors que l'avance sur Frais, ne dispose d'aucun plafond, ou délai de compensation.
Les anciens se rappeleront que le processus de gestion des frais fait régulièrement les frais des migrations.
Est-il pourtant si difficile :
- De réaliser des tests de batchs de génération de fichiers de virements, comparés à une référence ?
- De mobiliser des moyens et ressources supplémentaires pour un traitement MANUEL des retards ?
- D'écrire un report pour localiser les notes en attentes plutot que d'attendre un appel de salariés forcément irrités de l'absence de réaction ?
- D'obtenir un report du prélevement Amex de Février ?
- De demander un retour, au mois à titre temporaire, de chequiers en France pour procéder à des avances ?
- De montrer un peu d'humilité, de présenter des excuses et des solutions de court terme plutot que d"un mail lapidaire et sec " Les notes de frais en attente de paiement devront toutes être payées au plus tard le 21/02/08."
Les retards dépassant pour certains les 2 mois de salaires, en raison d'une activité professionnelle intense, pose, on le comprend, des difficultés réelles.
En attente de la position de la direction, nous appelons les salariés concernés à remonter le mail suivant :
M. XXX , les retards de reglement de mes frais professionnels, d'un montant de YYY au 12/02/2008, représentent une charge insupportable m'interdisant maintenant d'engager quelque dépense supplémentaire sans prise en charge immédiate par Oracle. En conséquence, à compter du XX je ne serai plus en mesure d'honorer des déplacements qui ne seraient pas financés préalablement par Oracle. Comptant sur ta diligence pour que cette situation soit reglée au plus vite afin d'éviter des impacts sur notre business, et qu'un cheque me soit adressé dans les meilleurs délais.
Légitimement, après 1 mois de patience, l'enervement des équipes nomades, notamment au conseil, est à son comble devant l'incapacité d'avoir une reprise de l'activité de reglement des Notes de Frais.
Cet enervement prend une ampleur encore supérieure quand il n'est proposé qu'une avance sur Salaire, alors qu'il convient de procéder à des avances sur Frais. En effet, dans le premier cas, le montant est limité à un mois de salaire et est repris à la fin du mois, alors que l'avance sur Frais, ne dispose d'aucun plafond, ou délai de compensation.
Les anciens se rappeleront que le processus de gestion des frais fait régulièrement les frais des migrations.
Est-il pourtant si difficile :
- De réaliser des tests de batchs de génération de fichiers de virements, comparés à une référence ?
- De mobiliser des moyens et ressources supplémentaires pour un traitement MANUEL des retards ?
- D'écrire un report pour localiser les notes en attentes plutot que d'attendre un appel de salariés forcément irrités de l'absence de réaction ?
- D'obtenir un report du prélevement Amex de Février ?
- De demander un retour, au mois à titre temporaire, de chequiers en France pour procéder à des avances ?
- De montrer un peu d'humilité, de présenter des excuses et des solutions de court terme plutot que d"un mail lapidaire et sec " Les notes de frais en attente de paiement devront toutes être payées au plus tard le 21/02/08."
Les retards dépassant pour certains les 2 mois de salaires, en raison d'une activité professionnelle intense, pose, on le comprend, des difficultés réelles.
En attente de la position de la direction, nous appelons les salariés concernés à remonter le mail suivant :
M. XXX , les retards de reglement de mes frais professionnels, d'un montant de YYY au 12/02/2008, représentent une charge insupportable m'interdisant maintenant d'engager quelque dépense supplémentaire sans prise en charge immédiate par Oracle. En conséquence, à compter du XX je ne serai plus en mesure d'honorer des déplacements qui ne seraient pas financés préalablement par Oracle. Comptant sur ta diligence pour que cette situation soit reglée au plus vite afin d'éviter des impacts sur notre business, et qu'un cheque me soit adressé dans les meilleurs délais.
03 février 2008
Enquete Satisfaction des Salariés - Le syndrome gaulois ?
L'enquête de satisfaction des salariés (ESS/ESat), discutée lors des restitutions QMM est l'occasion pour les managers de tenter l'explication du "Syndrome Gaulois" quand il s'agit d'apprécier certaines données. Vous nous avez fait part de quelques échanges embarrassés lors de ces restitutions.
Nous devrions peut etre plutot parler de Syndrome latin, puisque la France, l'Espagne et L'italie, rejoints cette année par le Luxembourg, sont parmis les plus insatisfaits en terme de rémunération. Les plus heureux, signe des temps sont les Slovaques, Ukrainiens.
A noter concernant les Indiens, autant les collaborateurs d'IDC sont ravis, autant ceux de SSI se sentent un peu gaulois. Et d'expliquer les taux de turn over constatés sur les projets qui leur sont confiés ?
Les indices de loyautés sont eux aussi explicites, avec des Luxembourgois qui fulminent, et la France, elle, remarquablement stable depuis 3 ans.
Il faut bien le reconnaitre, une part essentielle de l'interêt réside dans le l'attrait des postes occupés, à la dimension d'une multi-nationale à la manoeuvre. Constante elevé dans chaque pays, l'interêt pour le poste permet de relativiser une partie des aspects moins brillants de la société, et d'attirer de nouvelles recrues.
Avec 225 départs en 2006 dont 103 démissions (vs 1336 salariés au 31/12/06) , nombreux sont ceux cherchant d'autres équilibres, ailleurs.
Un zoom par métier relève que les départements ventes, avant-vente et formation sont en tête de la satisfaction globale.
A l'autre bout de l'échelle, les plus mécontents sont constitués des collaborateurs du support, du marketing et.... DRH !
Cherchez les collaborateurs ayant à connaitre le coté obscur de la globalisation.
Nota - Le marketing et la DRH sont notamment visés dans le Plan Social en cours de discussion...
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